Son objectif : devenir une ingénieure biomédicale de renommée internationale en travaillant avec les sociétés scientifiques pour améliorer le rôle des femmes dans les domaines scientifiques et les moyens par lesquels les scientifiques et les ingénieures intègrent les gens et la société à leur travail. En 1979, elle avait atteint cet objectif.
Dans ses mémoires, l’ingénieure biomédicale saluée Monique Frize se remémore les événements de sa vie qui lui ont appris à surmonter les obstacles, à devenir plus résiliente, à reconnaître l’importance des mentors et des modèles de rôles, à rester rivée sur l’avenir et à reconnaître le rôle essentiel que jouent la famille et les amis dans le maintien de la force et de la détermination nécessaires au succès. Mais aussi à réussir dans un univers masculin.
Frize se remémore affectueusement sa jeunesse à Montréal et à Ottawa, notamment son intérêt marqué pour les mathématiques et les sciences. Son entrée dans le monde de l’ingénierie était tout aussi romantique – elle y a rencontré son mari – que tragique. Elle a dû confronter des préjugés et des stéréotypes, qu’elle a finalement vaincus. Elle a concilié famille et travail pour mener une carrière internationale gratifiante dans un champ très spécialisé à une époque où les femmes avaient très peu de place. Et elle revit le massacre tragique de la Polytechnique.
Ces mémoires sauront inspirer les jeunes femmes qui ont un rêve, et plus particulièrement celles qui souhaitent percer en sciences et en génie.
Publié en anglais.