Margaret Laurence a connu une grande popularité au cours des années 1960 et 1970. Elle demeure aujourd’hui l’une des auteures les plus étudiées au Canada. Son oeuvre est remarquablement variée : cinq romans, deux recueils de nouvelles, des livres pour enfants et de nombreux essais sur des sujets aussi divers que l’armement nucléaire, l’oppression des Métis et la responsabilité sociale des écrivains.
Après avoir œuvré dans les domaines de l’immigration et du développement international, Caroline Lavoie a réorienté sa carrière en devenant traductrice agréée. Elle a fait une thèse sur Margaret Laurence à l’Université d’Ottawa, tout en s’occupant de la revue de traduction littéraire K1N.